Ces dernières semaines sont animées dans les salons et les plateaux TV par le sujet de l’énergie.
Longtemps notre confort en France a été un écran face à ce qu’il aurait été intelligent de prévoir : la pérennité de nos acquis techniques. Depuis la franche réussite du plan MESMER jusqu’en ce début de décennie, malgré les deux secousses Russes et Japonaises, et les invectives incessantes des anti ayant conduit aux décisions que l’on sait, le citoyen de notre hexagone demeurait dans une relative aisance énergétique. Jusqu’à la révélation brutale : rien n’est acquis ! Comment cela ?
Le charmant couple politico-médiatique, qui s’est exponentiellement affalé sur les réseaux, les ondes et les show-rooms à la mode feignait de ne rien voir venir, se contentant de débats de durée savamment calculée, avant repas, pendant ou après, et même à l’heure de la digestion. Stériles pour la plupart ces blablas quotidiens servent plus le journaliste que l’invité, souvent réduit à se voir le temps de parole mesuré, voire carrément coupé. De sorte que le lendemain, au café du commerce, l’on s’évertue le plus souvent à juger de la prestation de l’animatrice, du présentateur et du comique attitré appelé « humoriste » venant quotidiennement chroniquer sur des paroles ou des instants télévisuels, très souvent montés voire trafiqués.
Exception avec FR3 qui propose ici quelques minutes d’actualité que l’on savoure ou pas, mais qui parle d’un sujet, et c’est tout.
Bien sûr un peu de publicité précèdera le visionnage de ce bref reportage, et nous demande un peu de patience.
