Au hasard de lectures diverses, qui sont désormais permises grâce à cet outil dénommé INTERNET, dont on nous dit qu’il est là pour le bien de tous (mais les contre-exemples sont légion), on peut trouver un texte qui nous intéressera.
Maintenant que nous entrons dans la période d’attente de notre action aux Prud’hommes, il va nous falloir patienter, patienter encore et espérer. En attendant, communiquons entre nous sur notre Forum, il est là pour ça.
Et commençons par lire le texte qui va suivre, que certains trouverons un peu acerbe, d’autres inquiétant et aussi d’autres, pourquoi pas plutôt rassurant. A chacun sa façon de voir.
Ce texte est une chronique traitant du Tribunal des Prud’hommes, qui nous concerne, et pour cause, le nom de son auteur est bien connu de nous, j’ai bien dit le nom, la personne pas vraiment. S’appuyant sur les difficultés (probablement réelles) du surplus de travail des magistrats, il semble vouloir mettre en évidence une perte de crédit accordé au plaidoyer, à l’oral. Et il engage lui même un plaidoyer pour le défendre, ce qui est bien. N’empêche que le problème est bien là, extrait :
« … Qu’en reste-t-il lorsque le juge prud’homal ne veut plus écouter la parole de l’avocat ? »
Pas le temps , il s’en explique, entre autres, par la quantité importante des dossiers à traiter (par les juges).
Toutefois, il laisse entendre que si l’oral est concis et pertinent, mais surtout bref, il peut d’avantage convaincre que la lourdeur du dossier qui devra être « lu », après, hors audience.
Sera-t-il vraiment lu en fait ? La question est posée, ici.
Les plus courageux (euses) d’entre nous qui lirons et relirons, car il faut bien la relire, la chronique en question, pourront vérifier l’éloquence du Maître, sa culture et son talent. Réjouissons-nous en !
La collaboratrice associée (notre avocate), qui devra incarner notre défense, aura évidemment choisi de s’inspirer de celle de son « mentor » puisqu’elle l’aura colporté en personne sur une plateforme ouverte par l’internet. Ayons confiance.
Par cet acte de mettre sur le réseau cette chronique, il lui revient le mérite de nous permettre de pénétrer par la lecture, d’un pas timide et léger, un Cabinet d’Avocats. Car, il faut bien l’avouer, celui-ci nous est assez impénétrable à ce jour.
Nous avons dit, dès le début, et démontré à EPRO Solidaires, notre très sincère confiance au Cabinet BRIHIS KOSKAS, en contribuant, non sans difficulté, à bâtir un socle solide et stable pour poursuivre en justice l’action qui nous a animés sur les trottoirs, contre vents et marées et ORANO, il y a tout juste 2 ans.
Cette confiance s’est étoffée pendant de longues négociations menées par notre commission d’élus du CA de l’Association, s’agissant des accords sur les honoraires qui allaient devoir être consignés sur les conventions entre plaignants et avocat. Elle sont connues et validées à cette heure. Nous attendons maintenant en retour les listes exactes et définitives de nos adhérents partant aux Prud’hommes.
Sans doute que les garanties, désormais sonnantes et trébuchantes, que nous avons mis en route vers le Cabinet d’Avocats, par une importante quantité de dossiers fournis, assez proche finalement du chiffre entendu sur les trottoirs, sera la clef d’une complicité et d’une communication cabinet/bureau améliorées.
Nous serons attentifs à tout cela, et nous espérons pouvoir en savoir plus (même si nous avons connaissance de notre cause à défendre) sur le dossier (volumineux ?) des attendus qui sera posé sur le bureau des juges.
Merci de votre fidélité sur le site, et bonne lecture.
Solidairement