L’Arrêt d’ASTRID remet en question plusieurs décennies de stratégie nucléaire française.
En effet, nous avions fait le choix, ici en France, depuis le début de l’ère industrielle de production électronucléaire, de séparer le plutonium et l’uranium appauvri à La Hague pour alimenter des réacteurs de 4è génération. L’abandon du réacteur ASTRID en août 2019 remet tout en cause. Le réacteur capable de consommer les produits issus du « recyclage des combustibles usés » était prêt à passer en phase de prototype, avant d’être industrialisé et devenir notre force d’avenir dans le monde entier.
C’est du gâchis dont l’origine est tristement politique.
Nos dirigeants se sont soumis aux injonctions de l’Europe, elle-même aveugle de la réalité sous l’influence d’une écologie qui se mêle de tout, et qui règne en « tyran » sur les nations et sacrifie les choix des pays et les libertés d’entreprendre.
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