Avec cette rentrée scolaire, nous avons une rentrée parlementaire qui fait grand bruit.
Nous ne commenterons pas cette actualité, pour ce qu’elle est, ni pour ce qu’elle implique.
Mais nous pouvons nous intéresser à ce qu’il va advenir dans le pays. Plus précisément, sur des sujets qui nous concernent en tant que salariés ou anciens salariés. Une filière industrielle française est malmenée par les instances Européennes, pour le dire avec une certaine retenue. Il s’agit évidemment de notre production électrique nationale qui est devenue le « noyau », sans jeu de mot, d’un système élaboré par des acteurs fous. Orchestrés depuis Bruxelles, sous une gouvernance quasi conspirationniste, des technocrates se sont mis dans l’idée qu’elle nous soit confisquée au prétexte de respecter des règles libérales absurdes, et ont décidé d’en disposer dans des conditions qui conduiront funestement à la faillite du système Français qu’ils jalousent depuis longtemps.
La récente audition du PDG d’EDF, exprimant la situation, même passablement édulcorée, est là pour en témoigner.