Une BD qui fait beaucoup parler d’elle !

Le 1er novembre 2021, ici même, en plein COVID, je proposais un Bande dessinée à offrir pour Noël. RAPPEL :

Noël approche ! La question du cadeau se pose à chaque fois. Souvent, le livre est préféré, par manque d’inspiration, ou par facilité. Oui un bouquin, mais alors lequel ? L’a-t-il ou l’a-t-elle déjà lu ? C’est toujours un dilemme, cruel ou pas. Alors pourquoi pas une Bande dessinée ? Celle qui est proposée ici est en librairie depuis …

Aujourd’hui, on s’aperçoit de l’énorme succès de ce livre. La preuve en est le nombre de rééditions qui ont suivi les premiers 60 000 exemplaires : 21 rééditions ! Je ne peux pas croire que Mesdames BORNE et PANIER RUNACHER aient pu ignorer cette BD. Pas possible !

650 000 exemplaires aujourd’hui et ça continue plus d’un an après. Il n’en fallait pas moins pour que ce texte illustré qui en agace certains fasse parler de lui. Il parle d’énergie, mais pas comme eux, il donne des chiffres clés, des preuves, montre des courbes, etc…
Des anti-nucléaires éclairés (si tant est qu’ils puissent l’être, sans vent ni soleil) qui, tels des tagueurs de façades de préfectures ou des badigeonneurs de tableaux de maîtres, mais un tantinet plus malins, se sont essayés à une opération terroriste encore jamais vue dans le domaine de l’édition, car il s’agit bien de terrorisme et non d’un canular comme le dit Radio France du bout des lèvres (voir plus bas en cliquant le lien).
(Définition : Le terrorisme intellectuel traduit la pratique qui, au moyen d’arguments et de procédés intellectuels (amalgames, sophismes, attaque ad hominem, etc.), vise à intimider des contradicteurs pour limiter la formulation d’idées jugées gênantes ou politiquement incorrectes.

L’usurpation d’identité en fait partie, identité non pas de l’auteur, mais de l’éditeur lui-même !
L’imposteur impose aux libraires d’insérer un erratum dans l’ouvrage, pour, en fait dénoncer et détruire tout son sens. Bref l’éditeur demanderai subitement de ne pas lire l’ouvrage tel quel, mais, à postériori, d’amender sa lecture. Et le tout après avoir obtenu un succès sans précedent. Curieux tout de même ?
Evidemment nombre de libraires, soit par crédulité et naïvement, mais aussi et surtout par conviction intime (il y en a, et j’en connais) auront bel et bien inséré l’erratum.
Par contre la dénonciation de libraires éclairés, conscients de la supercherie, ceux là, n’aura pas tardé, et heureusement.


Pour compléter l’histoire, qui n’est pas finie et loin s’en faut, la suite ici, dans la presse nationale, cliquons sur le lien ci-dessous :

Comment la BD « Le monde sans fin » est devenue le livre le plus vendu de l’année (radiofrance.fr)

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